Les forces taïwanaises ont lancé une importante série d’exercices, le 13 juillet dernier, visant à évaluer leurs capacités à repousser un débarquement de l’Armée populaire de libération (APL) sur l’île, doublé d’attaques contre les principales emprises militaires du pays. Contrairement aux années passées, Taïwan a mis l’accent, pour l’édition 2020 des manœuvres Han Kuang, sur le combat interarmes et interarmées. En effet, pour la première fois, plus de 20 bataillons interarmées réunissant des unités d’infanterie, de chars et d’artillerie, ainsi que des opérateurs de drones tactiques et de missiles antiaériens Stinger, ont participé à ces exercices, qui ont vu aussi le déploiement de moyens aériens et navals importants, dont le sous-marin Hai Lung
(SS-797) et plusieurs frégates et destroyers. Selon Taiwan News, un exercice simulant la libération de dirigeants gouvernementaux pris en otages par des unités d’opérations spéciales de l’APL aurait été mené également au cours de ces manœuvres, à l’issue desquelles le débarquement simulé de troupes chinoises près de la ville de Taichung a été repoussé par 8 000 hommes des forces taïwanaises, appuyés par des chasseurs-bombardiers de la Republic of China Air Force.
Les forces taïwanaises ont lancé une importante série d’exercices, le 13 juillet dernier, visant à évaluer leurs capacités à repousser un débarquement de l’Armée populaire de libération (APL) sur l’île, doublé d’attaques contre les principales emprises militaires du pays. Contrairement aux années passées, Taïwan a mis l’accent, pour l’édition 2020 des manœuvres Han Kuang, sur le combat interarmes et interarmées. En effet, pour la première fois, plus de 20...
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