En décembre dernier, le président Trump avait annoncé le retrait des troupes américaines de Syrie, considérant que Daech était vaincu. Finalement, fin février, le chef de la Maison Blanche a décidé de maintenir, pour un « certain temps », 200 militaires en Syrie. Une décision dont s’est félicité le président Macron, alors qu’il recevait à l’Élysée son homologue irakien.
Pour Washington, cette décision n’est pas sans contrepartie, puisque l’administration Trump entend convaincre les pays européens de déployer en territoire syrien jusqu’à un millier de militaires afin de former une force susceptible d’empêcher une possible offensive turque contre les Kurdes, tout en gardant un œil sur une éventuelle résurgence de Daech dans la région.
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