Quelques leçons tirées par l’appareil militaire russe de l’intervention en Syrie
Le 26 novembre 2017, six bombardiers Tu-22M3 larguent leur chargement de bombes lisses sur des cibles terroristes à Deir ez-Zor.
Cet article est la suite de celui publié dans RAIDS n° 410, sur un premier bilan de l’intervention russe en Syrie. Après avoir analysé l’importance de la dissuasion nucléaire, de l’aéronavale, du contrôle de zone, de la masse, des stocks et des réserves, et rappelé le rôle fondamental des moyens civils de projection par mer et par air, ainsi que la contribution essentielle de ce conflit dans l’aguerrissement des troupes, RAIDS complète ce retex avec quatre autres thèmes d’importance.
Alors que l’USAF a retiré depuis longtemps ses F-111, l’aviation russe compte encore beaucoup sur ses Su-24 Fencer pour les missions de frappe tactique dans la profondeur du dispositif adverse.
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