Le niveau de Sentinelle est revenu de 7 000 à 3 000 militaires, début mars. Il avait été relevé en novembre, dernier cran avant les 10 000 mobilisables dans les rues, d’après les planifications. Le niveau « urgence attentats » (sans lien avec le niveau de déploiement) avait aussi été gravi en décembre. Selon le commandant des forces terrestres, interrogé le 15 mars, le temps d’efficacité d’un tel surge est en général de quatre à six semaines, l’effet était donc...

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Jean-Marc TANGUY