La présentation des capacités de l’armée de Terre à l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) a mis du punch cette année, pour mieux faire percevoir aux relais d’opinion les défis qui se présentent aux 77 000 militaires de la force opérationnelle terrestre, celle qui prendra le premier choc de la haute intensité.

Dans la foulée de la vision stratégique du CEMAT, l’armée de Terre a mobilisé son ban et son arrière-ban pour traduire visuellement la transformation qu’elle doit rapidement prendre en marche. Pour tenir ce challenge d’opérer contre un adversaire plus retaillé, il faut plus de « muscle », et savoir l’utiliser. Le noeud du problème, c’est de pouvoir disposer de matériel, et d’avoir le temps pour s’entraîner à cette haute intensité.

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