Depuis le conflit afghan et les derniers engagements des unités de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) avec des hélicoptères de manoeuvre et d’assaut (HMA), les retours d’expériences ont conclu à la nécessité de mettre en oeuvre une capacité d’autodéfense par l’emploi d’armes de sabord. De même, un armement spécifique pour certaines missions permet à ces vecteurs aéronautiques de mener des missions d’appuis ou de destruction.

En parallèle, les hélicoptères de manoeuvre et d’assaut sont de plus en plus sollicités pour la mise en oeuvre de systèmes optionnels et des techniques associées comme l’aérocordage, le rappel, le transport sous élingue (sling), le treuil en qualité d’aide treuilliste… autant de techniques qui sont appliquées depuis la soute de l’appareil et qui nécessitent compétences et savoir-faire ; le tout reposant sur la responsabilité d’un seul homme, à savoir le membre...

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Pascal Podlaziewiez, 5e RHC, ALAT