« Le gouvernement libanais ne pourra pas retirer les armes de la résistance sans verser le sang », a menacé Mahmoud Comati, le vice-président du conseil politique du Hezbollah, en réponse à la décision du gouvernement de Nawaf Salam de désarmer les milices au Liban.
« La résistance n’est ni isolée ni assiégée, mais fait partie d’un large front national », a ajouté Mahmoud Comati, haussant une nouvelle fois le ton contre la décision du gouvernement de désarmer les milices au Liban, en tête desquelles figure le Hezbollah, et de mandater l’armée libanaise pour préparer un plan visant à récupérer le monopole des armes pour une application avant la fin de l’année en cours. Cette décision avait été prise par...
La suite est réservée aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter